Psaume 9 : Architecture Divine

Fry affichait un air blasé.


« J’en est marre, je vais régler ça très vite. »


Fry s’approcha alors de la direction d’où venait les voix


il leva les bras en l’air.


« Je viens en paix et j’en est raz le cul de discuter avec des idiot. Alors vous allez stopper les coup de feu, parce que votre pote la ! La seul raison de pourquoi il est mort c’est qu’il a tirer sur un de nos membre qui s’était rendu, alors je l’ai tuer, je comptait juste le paralysé mais j’ai frapper trop fort. »


Fry s’avançait vers eux lentement.


« Ensuite on à été envoyer pour tester la solidité d’un bunker ! Donc faut croire que votre bunker a une capacité de surveillance hors du commun, vue qu’il n’a pas réussit a repérer ma voiture de kéké roulant a plus de cent kilométreur avec la musique a fond. Ensuite on est arrivé sur la zone du bunker, avec personne pour nous accueillir, on a donc pris en compte que le test du bunker avait déjà commencer, et que c’était donc un trip attaque surprise »


Fry stoppa sont déplacement.


« Pour finir, vous avez un bunker, il y a une attaque non prévue ! Et qu’est ce que vous faite ! Vous envoyer des mecs dehors au lieu de vous planquer dans le bunker ! Donc en gros je serait avec les titan, j’aurai déjà supprimer vos deux arme »


Tendant un doigt vers un de mecs.


« Toi je t’aurait tué sur place, avant de torturer ton pote pour qu’il m’explique comment rentrer dans la bunker, et ensuite tuer tout les habitant du bunker ! »


Fry se tourna et repartie.


« Sur ce ! Malgré les quelque perte dont je suis navré, le test est finis et votre bunker et la sécurité est minable ! »

Sikuliaq prit la trousse de soin et commença à se faire un bandage de fortune quand elle vit Fry se diriger vers elle.

-Tu vas où?
-J'me casse c'est fini pour nous ici.
-Ho ... ok, de toute manière faut que j'aille aux urgence pour ma jambe ... tu m'y amène?
-Oui, pas de problème.

Fry et Sikuliaq montèrent dans le véhicule de location. Et tendis que Fry fait chauffer le moteur, Sikuliaq elle alluma la radio.

Donnez-le moi tout de suite si vous le souhaitez, j'ai un contact direct avec eux."L'homme ouvrit sa sacoche.

Arkaan eut un sourire.

-Je doute d'être assez petit pour rentrer la dedans. Le rapport c'est moi même, je n'ai pas trouvé le temps de mettre sur écrit. Vous m’emmènerez directement les voir quand j'aurais régler moi même votre petit problème.

- Oh mon dieu, ils ont tué Lenny !
- Espèces d'enfoirés !"

"Vous... Vous n'avez tout de même pas abattu un de nos contacts là-bas, j'espère ?"

Arkaan souffla, visiblement seul l'asiatique était professionnel ici. Les deux n'étaient que deux rigolos, il n'était pas question qu'il règle le problème de ces deux. Il allait les regarder se débrouiller, Arkaan le fier guerrier, un des nombreux champions d'élite de Baal le Dieu des Dieu... courut en paniquant se planquer derrière un arbre quand ça commença à tirer.

Il observa discrètement derrière son arbre le déroulement de la scène, il s'attendait à ce que les deux idiots prennent leurs jambes à leur cou ou à prier pour qu'on les épargne. Cependant la vie de l'asiatique n'était pas négligeable, c'était sa porte de sortie pour rentrer au Panthéon. Mais le jeune homme ne fuyait pas, il resta devant les scions armés et leva les bras en l'air. Il se rendait ? Sage décision.



« Je viens en paix et j’en est raz le cul de discuter avec des idiot. Alors vous allez stopper les coup de feu, parce que votre pote la ! La seul raison de pourquoi il est mort c’est qu’il a tirer sur un de nos membre qui s’était rendu, alors je l’ai tuer, je comptait juste le paralysé mais j’ai frapper trop fort. »

*Quel idiot ! Il avance vers eux ils vont le trouer !*

« Ensuite on à été envoyer pour tester la solidité d’un bunker ! Donc faut croire que votre bunker a une capacité de surveillance hors du commun, vue qu’il n’a pas réussit a repérer ma voiture de kéké roulant a plus de cent kilométreur avec la musique a fond. Ensuite on est arrivé sur la zone du bunker, avec personne pour nous accueillir, on a donc pris en compte que le test du bunker avait déjà commencer, et que c’était donc un trip attaque surprise »

Pour finir, vous avez un bunker, il y a une attaque non prévue ! Et qu’est ce que vous faite ! Vous envoyer des mecs dehors au lieu de vous planquer dans le bunker ! Donc en gros je serait avec les titan, j’aurai déjà supprimer vos deux arme »

*...C'est vrai...*

« Toi je t’aurait tué sur place, avant de torturer ton pote pour qu’il m’explique comment rentrer dans la bunker, et ensuite tuer tout les habitant du bunker ! »« Sur ce ! Malgré les quelque perte dont je suis navré, le test est finis et votre bunker et la sécurité est minable ! »

Le jeune homme partit, Arkaan le regarda bouche bée.

*Ce merdeux... est génial. Je sens que... j'apprendrais plus en le suivant qu'en suivant ce chinois qui se chie dessus des que ça part en vrille. Ce ptit gars à un sang froid incroyable,la fille aussi mais pour des raisons différente.*

Le guerrier sortit de son arbre, et avança vers le chinois,une fois dos à lui il s'adressa à lui.

-Quand vous ferez votre rapport auprès de la bureaucratie, ne soyez pas trop dur avec ce jeune homme. Il y a une force en lui que moi même je ne suis pas sur d'atteindre un jour. Je deviendrais plus fort en suivant cette homme et en le guidant du mieux que je peux qu'en restant avec un fragile. Sans vouloir vous vexer,ah et dite aussi que l'équipe partie au Mexique a été complètement massacré et la fontaine de Jouvence détruite à cause de la trahison d'une certaine  Mariquita Carno. Si je retrouve cette femme le procès et la sentence se fera sur le champ.

Arkaan s'en alla et monta à l'arrière de la voiture.

-Je viens avec vous.

Lorsque tout le monde s'en alla, le spectre de Tan demandant alors des notes et préparant un rendez-vous pour la déposition d'Arkaan, les deux tireurs se regardèrent d'un air gêné, puis observèrent l'horizon, échangeant une conversation muette.
L'un d'eux, finalement, brisa le silence, de façon bien plus neutre et enjouée : "Bien, je crois qu'ils sont partis maintenant...
- En effet.
- Du coup, je suppose qu'on a réussi ?
- En effet."  Silence, encore une fois. Finalement, l'un d'eux se dirigea lentement dans les décombres, passant à travers et fouillant pour trouver une sorte de trappe, qu'il ouvrit.
Il descendit les escaliers, les nombreux pièges qui fourmillaient à l'intérieur se désamorçant tout seuls devant lui : passant à côté des réserves de nourriture et de la serre, à côté des bâtiments personnels, il continua jusqu'à la zone la plus confidentielle de l'endroit, et ce jusqu'à arriver vers une femme en tenue de soudeur, travaillant sur un curieux appareil. "Jane, plus la peine de peaufiner ton arme, ils viennent de partir." Celle-ci leva alors les yeux et, arrêtant de souder pour une seconde, elle répondit : "Quoi, vraiment ? Votre plan a vraiment marché ?"
- On dirait bien. Se faire passer pour des incapables à qui personne ne confierait le moindre bâtiment semble parfaitement marcher, même si on a dû détruire le HLM de couverture pour ça.
- Bah, ça se reconstruit très vite ! En revanche, vous avez dû sacrifier Léonard, ce qui est moyennement sympathique..." Elle eut une moue désapprobatrice en disant cela. Son camarade la rassura : "Mais non, regarde... Eh, Leonard ! Lève toi et marche !" A la grande surprise de Jane, des pas retentirent des quartiers personnels, jusqu'à trouver l'ancien défunt, venant à peine d'enfiler de nouveaux vêtements : "Dis, ce n'est pas parce que j'ai un phylactère que je dois toujours aller en première ligne !"
- Estime toi heureux d'en avoir un ! Cet homme avait la force d'Atlas, sans ça je n'aurais même pas donné cher de ton âme !
- Mouais... Bon, je vais dire à nos amis du soutien aérien de se poser. Jane, va prévenir la Bureaucratie pour notre témoignage." Chacun s'éloigna alors de son côté : la femme, délaissant son établi, sortit alors un papier et un crayon, écrivant tout simplement : "C'est un succès total. Aucun n'a pu ne serait-ce qu'approcher la zone de danger, et ils sont partis d'eux-même. Nous aurions cependant besoin d'un autre groupe." Signant alors le papier, elle le secoua, et celui-ci disparut, parti en direction des bureaux administratifs Chinois.

Il ne restait plus pour eux qu'à attendre le prochain groupe.