[RP] Age of Evil

Pain pénétra dans l’immeuble, slalomant entre les morceaux de plafond qui s’écroulaient au sol. Enfin, il tomba sur une grande femme grise aux cheveux violets qui tentait de se relever.
Dans quelques secondes, ils allaient être écrasé par les débits, le jeune démon n’avait pas le temps d’être délicat. Il enroula la femme à la taille avec son tentacule.
-Désolé, ça va être brutal…
Il courra du plus vite qui pouvais vers la sortie, trainant l’inconnue derrière lui.
Quand il sortit, l’immeuble s’écroula derrière eux. Tina créa un dôme de protection autour du groupe pour les protéger de l’amas de poussière provoqué par la chute du bâtiment.
Pain reprenait son souffle, inspirant et expirant fortement, quand il entendit une voix lui parler dans une langue qu’il connaissait bien.
"Un démon qui vient en aide aux autres? Qui es-tu espèce d'imbécile pour bafouer ainsi notre espèce."
Pain se retourna brusquement, comme pris de peur.
-Un démon ???
C’est alors que la police arriva, les braquant de leur arme.
- CASSEZ VOUS ! RESTEZ PAS LA ET CASSEZ VOUS !
Plusieurs supers s’enfuirent alors. Deux policiers s’avancèrent vers Tina et Pain.
-Les mains en l’air !
Le jeune démon se mis à genou, plaçant ses deux mains au sol.
-J’ai dit mains en l’air ! Pas au sol !
Pain semblais se concentrer, sous ses mains, une marque apparaissait lentement.
*Aller !!!! C’est pas vrai…*
Les policiers étaient stupéfaits.
-Qu’est-ce que c’est que ça ? Répondez ou je tire !
-Pain, mais qu’est-ce que tu f…
La marque était enfin complète, sans attendre, Pain saisit Tina à la taille et sauta dans le sceau, l’entrainant avec elle, sans savoir une seule seconde où il l’entrainait.
Les deux jeunes atterrirent sur un tas d’ordure. Tina se releva, retirant une peau de banane collante de ses cheveux.
-Beurk…
Elle regarda autour d’elle, des montagnes de déchets s’étendaient jusqu’à des grandes barrières en bois.
-On est où là ?
Son regard s’arrêta sur une petite cabane sur laquelle était marqué « Décharge municipale », elle regarda alors son compagnon avec le plus grand des mépris dans les yeux.
-Je te hais Pain…

Les policiers qui étaient restés, furent surpris par l'attaque de Hope et la disparition de deux personnes. Nebotus de son côté s'énerva quand le démon disparu et prit le contrôle du corps devenant de flamme.

"I fucking hate when shitty fags don't answer me!"

Les policiers voyant cette homme qui venait de prendre feu tirèrent sur lui, mais les balles lui passèrent à travers.

"Don't mess with me!"

Il lança une vague de flamme damnée qui bien que pas très puissante renversa une partie des policiers. Nebotus s'approcha alors de la méca-armure, le capitaine ne perdit en rien son sang-froid

"Qui es-tu?
-The hell little bitch, the hell."

Quand les flammes passèrent sur l'armure elles en firent tout simplement le tour avant qu'il ne parte le plus rapidement possible.

Derrière Nebotus, un homme couvert par une cape apparu comme par magie et emporta avec lui Rany, Aisu et Kuro sur le toit d'un immeuble. Ils purent se sentir soigner pas complètement, mais en bonne partie. L'homme avec une voix clairement modifié s'adressa à eux.

"Vous ne m'avez jamais vu."

Il disparu ensuite sans laisser aucune trace, mais laissant les trois personnes en sécurité et en état de marché.

Hope vit que son stratagème marcha lorsqu'une partie des policiers se mirent à sa poursuite.

musique:

Elle accélera son battement d'ailes comme elle pu pour prendre de la vitesse et commença à zigzaguer dans les ruelles pour tenter de les semer, mais ils étaient tenaces, elle fit d'un coup un virage sec en angle droit avant de monter en flèche en haut de l'immeuble, pour être hors de leur vue. Elle avait l'impression d'avoir les ailes en feu, elle haletait tant elle avait fait un effort surhumain pour leur échapper. Elle tomba à genoux et se tint avec ses mains pour ne pas finir face contre terre, ou plutôt béton dans le cas présent. Soudain un policier surgit et cria:

"Les mains en l'air et les ailes immobiles!"

Le policier braquait son arme mais semblait hésitant, visiblement il n'avait pas l'habitude de traiter avec autre chose que des êtres humains. Hope profita de cette hésitation pour envoyer une petite lame d'énergie sur la main du policier, En réaction le policier tira un coup qui rippa sur sa joue, la balafrant. La lame arriva sur la main du policier, lacérant ses doigts et le faisant lâcher son arme.
Hope profita de cet instant de répit pour s'enfuir en volant de toit d'immeuble en toit d'immeuble, jusqu'a être hors de portée du policier.

Le Trio resta quelques instants immobile. Kuro fut le premier à parler.
<< Et ben, sacré journée. >>

Il se retourna vers Aisu et Rany, le premier était les bras croisé, semblant réfléchir tandis que la seconde semblait attendre quelque chose.
<< Hum... Vous êtes? >>

L'être blanc releva la tête, un petit sourire apparaissant.
<< Aisu, et voici Rany. Et vous?
- Kuro, Kuro Furukou. Z'avez pas l'air d'être du coin je me trompe?
- Du tout, vous avez un grand sens de l'observation>>
Un petit pouffement de rire les fits regarder Rany. Celle-ci s'éclaircissa la gorge avant de prendre la parole.
<< Désolé, légere effet de ma transformation. Seigneur Aisu
- Seigneur?
- Rany, laissons ce genre d'appellation pour le moment de côté.
- Oui Sei... Oubliez... >>

Petit rire de l'être blanc.
<< Nous allons retourner au vaisseau... Kuro, j'aimerais que vous veniez avec moi. Il y a quelque chose que je voudrais vérifier vis a vis de votre Bras. >>

Kuro leva un sourcil.
Quelques minute plus tard, le trio partait.

Et ba putain, voila quelque chose qui en valais la peine, un Super Méchant vaincu transpercé par je ne sais quoi, une grosse bestiole, un mec avec une tentacule dans le dos digne des plus hadcore des hentai, et un gars qui sort de nulle par et qui sauve tout ce petit monde avec une facilité déconcertante.

-Bon, maintenant, direction le boulot, c’est pas tout, mais j’ai pas intérêt a arriver en retard, sinon je vais me faire taper sur les doigts, j'ai hâte de tester les nouveaux équipements.

Je marche donc vers les laboratoire d’Oscorp, quittant la scène et les policier.

Alors que Lake marchait tranquillement, une ombre apparu devant lui, il reconnu clairement l'homme encapuchonné. Lake n'eut pas le temps de réagir que l'homme posa sa main sur son front et que sa mémoire sur cette homme disparu en même temps qu'il disparu de son champs de vision. Quand Lake reprit conscience il ne se souvenait pas pourquoi il s'était arrêté.

Steven se leva sur le toit d'un immeuble avec un semblant de couverture sur lui.

"The fuck just happen?
-You're finally awake princess.
-Oh hi, what did you do yesterday after this fire guy kick my ass.
-Run away from the police and show them my middle finger.
-Rha you're unstopable when you take control.
-Yeah I know."

Steven se leva s’étira, enfila son masque et s'approcha du bord de l'immeuble.

"It's a new day and today will be the day that I'm going to be a hero.
-Before playing the hero... Wear your fucking clothes, you're nude dumbass.
-Oh this is why it's a little bit cold."

Evan voyait le soleil se lever, il était épuise et couvert de sang. autour de lui s'étendait une vingtaine de personne. Il cracha du liquide épais sortant de sa bouche.

"Je pense que c'était un bon entraînement."

Il commença alors à marcher, n'allant clairement pas droit, il dut s'appuyer sur un mur.

"J'suis allé peut-être un peu fort ce coup-ci."

L'image de Fatalis apparu alors dans sa tête.

"Non, ça s'était rien à côté de ce que je dois atteindre."

Il continua à marcher sans vraiment faire attention où il allait, mais la fatigue d'un nuit de combat le rattrapa bien rapidement. Malgré cela il avait bien marché et s'écroula dans la zone industriel de la ville.

Kateleria s'amusait à lancer la petite fiole contenant une fumée d'un vert algue.

"J'ai fait une bonne affaire, récupérer une fumée zombifiante, ça pourrait être drôle."

Tandis qu'elle marchait tranquillement alors que le soleil venait à peine de ses lever, elle vit quelque chose ou plutôt quelqu'un écroulé sur le sol et couvert de sang et de blessure.

"Tiens tiens, il semblerait que l'on trouve d'autre chose intéressante en marchant."

Elle s'approcha et remarqua que l'homme portait un masque étrange.

"Bien, je vais m'amuser un peu voyons ce que je peux tirer de ça."

Un gant métallique apparu et elle l'utilisa pour commencer à traîner l'homme jusqu'à son usine.

Pain attendait devant la porte de la salle de bain, il était recouvert de saleté de la tête au pied. Derrière cette même porte, Tina était sous la douche, en train de tenter de retirer les saloperies qu’elle avait dans les cheveux.
-Bon, tu t’grouille ? T’es pas la seule à avoir atterrie dans cette décharge, et les démons n’ont pas l’option auto-wash…
-C’est ta faute si on est comme ça, alors t’attendra le temps qu’il faut !
-Tina ?
La voix de la mère de Tina se fit entendre dans les escaliers, prit de panique, Pain fit la première chose qui lui vint à l’esprit : Sauter par la fenêtre.
Ayant oublié que dans ce monde, il ne peut pas voler, il se rétama au sol, depuis le deuxième étages.
De son coté, Tina sortie de la douche, et entendit sa mère toquer à la porte.
-Le dîné est servi.
-J’arrive.
C’est alors qu’elle entendit à nouveau toquer, mais cette fois derrière elle, Pain était accroché au rebord de la fenêtre et toquait à la vitre.
La jeune fille eut un petit cri de surprise, elle cacha sa nudité avant d’envoyer une boule magique vers le démon, détruisant la fenêtre au passage.
-Tout va bien ma chérie ?
-Euh…Oui….C’est rien, un oiseau s’est planté dans la vitre.
Plus tard Pain était dans la chambre de Tina, il s’essuyait les cheveux après avoir pu enfin se laver.
Tina arriva, elle portait  une assiette avec dedans un steak et des frites.
-Tien, ça a un peu refroidit, j’ai dû attendre que ma mère aye regarder la télé.
-Pas grave, nous les démons on sait se contenter du peu.
-Je sais, j’t’ai déjà vu manger un rat…
-Hey, c’est hyper bon ! Tu devrais gouter.
-Même pas en rêve.
Le reste de la soirée se passa bien, les deux jeunes regardèrent un film sur la TV de la chambre avant de se coucher.

Tina se leva la première, en même temps, contrairement au démon qui était en train de roupiller dans son placard, elle avait école elle. Après son petit déjeuné, la jeune sorcière se prépara et parti vers la gare, direction Manhattan où se trouve son école.

Dans l’asile psychiatrique de la ville, un jeune homme brun-blond recouvert de cicatrises était en train de dessiner sur les murs de sa cellule avec les pastels qu’on lui avait laissé. Un des gardiens se trouvait assit devant celle-ci, lisant un journal où la première de couverture parlait de l’incident d’hier. Sur la photo, tous les supers présents y étaient vus, elle avait été prise juste avant que chacun ne s’échappe. La plupart avaient le visage caché sous des capuches ou des marques, mais l’un d’entre eux, un jeune homme avec des tentacules dans le dos, était bien visible.
*-Hey Jeff ! Regarde !
-Qu’est c’qu’il y a Willy ? Une info intéressante ? Hihihi…
-Arrête de m’appeler comme ça p’tite merde ! Ce n’est pas mon nom !
-T’as jamais voulu me le dire, faut bien que je t’en trouve un, non ? Et puis Willy, c’est mignon…
-Rooh ta gueule ! Mate plutôt le journal !
-Ooooooh, des supers héros ? Ça fait un baye que j’en ai pas vu.
-Non, mais regarde le gamin au milieu, c’est Pain.
-Oooh, mais c’est vrai.
-Je croix qu’on a assez glandé, on maintenant qu’on a piste, on va pouvoir se casser d’ici.
-Mais je l’aime bien cette cellule, moi, regarde les beau dessins…*
Le démon que Jeff surnommais Willy prit le contrôle de sa main pour lui foutre une claque.
*-On s’en fout de ça ! On est ici pour Pain ! Souvient toi notre accord. Si tu veux un jour la revoir, tu fais c’que j’te dis…*

Soir 1

Hope finit par rentrer pour panser ses plaies. visiblement le vieil homme avait tout prévu, dans la lettre, il lui indiquait où étaient le matériel médical et avait même prévu un repas pour elle. Elle le rechauffa en suivant les instructions marquées sur la lettre et par rapport à sa formation des coutumes terriennes et leur objets. Tout en mangeant elle continua à lire la lettre jusqu'a ce qu'il mentionne la seconde source, il indiqua où elle se trouvait, mais rien de plus, visiblement de peur que quelqu'un d'autre trouve la lettre. Une fois son repas terminé, elle paramétra le vaisseau pour préparer un voyage jusqu'a la destination indiquée par la lettre. Elle lu que le voyage allait lui prendre trois heures et s'endormi tandis que la navette l'emmenais à destination.

Elle se réveilla dans une chaine de montagnes donc les pics sombres se distinguaient dans la pénombre qui régnait ici. Elle relu la lettre lui indiquant qu'elle devait se rendre dans l'énorme caverne devant elle. Elle passa discrètement à côté du camp de chercheurs qui parlaient de cette fameuse caverne de "Krubera". Elle commença à descendre en volant. Visiblement les humains avaient commencés à l'explorer, mais ce qui intriguait le plus Hope était la profondeur et la noirceur de cette crevasse, malgré tout elle continua à s'enfonçer, s'aidant d'une lame d'énergie pour éclairer faiblement ses pas. Alors qu'elle progressais dans les parties les plus sombres de la caverne, elle commençait à entendre des bruits, qui ressemblait à des voix déformés. Hope commença à se sentir mal à l'aise et au fur et à mesure qu'elle avançait, le bruit s'intensifiait, au point de devenir une voix horriblement effrayante et animale. Hope perdit sa concentration et n'arrivait pas à réactiver son pouvoir tant elle paniquait, elle finit par se mettre assises, serrer ses genoux dans ses bras et pleurer devant la solitude et la noirceur lui rappelant son enfance. Elle ne saurait dire combien de temps elle avait pleurer au milieu de la noirceur absolue, mais elle finit par voir une lueur dans le lointain. ne se raccrochant qu'a cet espoir, elle fonça dans un dernier effort pour traverser un mur illusoire pour arriver dans un autre temple nimbé d'une lumière dorée. Hope sourit et versa quelques larmes de joie devant ce magnifique spectacle qui s'offrait à elle, une colonne de lumière apaisante se dressait au centre du temple, décoré selon l'iconographie typique des guardiens. Elle put lire au sol devant elle: "Même dans l'obscurité et le désespoir le plus total, jamais la lumière ne disparaitras."

Hope sécha ses larmes puis avança doucement vers la colonne de lumière et finis par la toucher.

musique:

La lumière réagit en glissant sur les doigts de la gardienne puis en reprennant son éternel course vers le plafond du temple. Hope se déshabilla avant d'entrer dans la colonne, tandis qu'elle la traversait, la lumière semblait glisser comme des gouttes d'eau sur son corps. Lorsqu'elle fut au centre elle activa son pouvoir de gardienne et commença à rentrer en communion avec la planête. instantannément les particules de lumière qui la frollait ne firent qu'un avec elle, la traversait de part en part, l'abreuvant d'un pouvoir qui la faisait se sentir légère, apaisée, et loin de ses peurs précédemment vécue.

Elle finit par ressortir de la colonne, se rhabilla et sortit du temple. Elle commença à activer son pouvoir mais la proximité du temple lui donna un afflux trop grand, lui faisant partir comme une flèche, sans même contrôler quoi que ce soit, évitant de très peu de se couper sur les rochers. Elle ressortit du trou dans une colonne de lumière qui frappa le ciel, déclenchant une aurore boréale au milieu de laquelle elle se trouvait, nimbée de son pouvoir, tel un ange illuminant la Terre. Elle vit plusieurs humains, pleurer de joie, d'autres prendre en photos le phénomène et certains tomber à genoux. Oui elle savait son rôle maintenant, elle devait devenir un symbole d'espoir pour tout ces gens cherchant un meilleur lendemain

Matin 2

Hope avait finit par rentrer et se coucha directement pour se réveiller à 11h, prendre une douche et sortir avec l'aide de son camouflage optique, la faisant passer pour une humaine basique dotée d'un jean et d'un sweat à capuches. Il allait falloir qu'elle trouve comment régler ce système de camouflage.

Ethan lisait les news de bon matin, notamment sur cette étrange ange de lumière et les théories farfelues sur le sujet, cela l'amusait à quel point les gens pouvaient être crédules et voir tant de choses dans une phènomène naturel qu'est l'aurore boréal. Il finit par se tourner vers l'une de ses chambres d'incubation:

"Ca va là dedans?"

Il n'entendit que des bloup bloup en guise de réponse, de toute façon il s'en fichait, il avait un appel à passer:

"Monsieur Stryker? J'ai entendu parler de vos travaux et j'aimerais savoir si vous aviez du temps à m'accorder."

Le jeune adolescent tourna a clé le plus doucement possible dans la serrure, et crispait son visage en ouvrant la porte le pus silencieusement possible, qui au final crispait autant.
Alors qu'il fermait la porte, et allumait les lumières -étrangement éteintes- il put sentir quelque chose d'étrange.
- DODGE !
Nathan se retourna pour voir une bouteille de bière vide lui arriver en plein dans la figure, qu'il eu juste le temps d'éviter en se laissant tomber au sol.
Il se trouva qu'en fait la bouteille n'était pas vide et le garçon se reçut de la bière dessus et la porte était inondée.
S'en suivit un facepalm.
- BWAHAHAHA !
- Oh my god, dad...
Scott, hilare et se levant du canapé, indiqua à son fils une boîte proche de la porte où Nathan y déposa en maugréant un dollar. Le père saisit ensuite un chiffon et entreprit d'essuyer la porte alors que son fils se dirigea vers la cuisine.
- So how's your day ?
- Pretty nice, nothing's happened, the usual stuff... Dad ?
- Mmmmh ?
- WHY THE HELL ARE THERE A CORPSE IN OUR FRIDGE ?
- Midlife crisis.
- YOU CAN'T JUST GIVE THAT ANSWER EVERYTIME I ASK YOU A- SERIOUSLY DAD, WHAT THE FUCK ?
- Relaaaaax, Chill, son, it's a contract, it'll be out tomorrow...
- Dad, I mean it, we can't live like this, I know it's your job and it's very important to you but this is wrong and it will be good for us both if you stop and-
- ... Is that ash on your shirt ?
- Goodnight Dad !
L'adolescent couru dans sa chambre sous l’œil amusé et interrogatif de son père, qui finit d'essuyer la porte, et partit se servir une autre bière dans le frigo, en poussant légèrement le corps encore sanguinolent de Scorch, qui perdit l'équilibre.
Carbon le rattrapa et le remit dans une position stable.
- Sorry ol' buddy, but you'll be brought to Greeny when the price of contract will be increase, and when your unknow killer will be catch...

- You must obey the dance Commander, Givin' you the order for fun...
You must obey the dance Commander, you know that he's the only one,
Who gives the orders he-ere ?
Alright !
Who gives the orders he-ere ?
AAALRIGHT !
Nathan se leva difficilement, ces quelques blessure infligé dans le brasier d'hier lui faisait encore du mal, alors il saisit une cigarette pendant qu'il entrait dans la cuisine, où son père lui préparait le petit déjeuner, en chantant.
- 'Morning dad...
- 'Morning son !
Nathan engloutissa son bol de céréales, tentant d'ignorer le tablier de son paternel.
- Oh, by the way, you're late for school.
- WHAT ?!
L'adolescent rusha dans ses préparatifs matinaux, et 10 minutes plus tard, prêt, il saisit son sac et fonça.
- Have a nice day, Nate !
Scott attrapa son fils pour l'embrasser, et Nathan ne put échapper à son destin, une fois libéré, il couru hors de l'appartement, direction son école.

Après l'échappée du brasier, Cody était rentré chez lui, et comme à son habitude, se fit promettre à lui même de ne plus jamais sortir, alors que Vaccine n'arrêtait pas de la remotiver malgré lui.
Après une soirée de jeux, de série et finalement de sommeil, Cody avait reprit confiance en lui.
Jusqu'à ce qu'il doive sortir une fois de plus.
Le jeune homme marchait dans la rue, une mine dépitée.
(- ... Je veux rentreeeeeeer, pitiééééééé !)
(- ARRÊTE DE TE PLAINDRE CODY ! Fait ce que tu as à faire !)
(- ... Il y a trop de monde... je-je peux pas rester ici, je veux rentrer...)

Laboratoire d’Oscorp section recherche théorique.

-Lake, quand t’auras fini de nettoyer la machine tu pourras tenter de comprendre un symbole aux équations HAHAHA.
Tu vas voir, je vais te les faire bouffer t’es équations, en plus elles sont fausse, mais vue que je t’aime pas, je vais te laisser faire ta démonstration et te laisser te ridiculiser espèce de grosse merde.
La fin de la journée fut longue, mais heureusement il y eu quelques moment amusant, comme regarder la démonstration de ce connard de Jeff qui comme je l’avais prédit fut un véritable foutoir, dont équations étant fausse, les machines qui devant projeter des atomes d’hydrogène se sont mal calibré et en on envoyé trop d’un coup, ce qui a provoqué une surcharge et la fusion des cœurs d’hydrogène. Heureusement le système de sécurité c’est activé pour tout arrêté, sinon il n’y avait plus de laboratoire de recherche.

Soir

De retour à l’orphelinat, je monte directement dans ma chambre, un peu basse en hauteur dû au fait qu’il s’agit des combles aménagé, mais j’y suis bien.  Avant que le diné ne commence j’aide à déplacer quelques armoires, lits et autres  meubles pour les nouveaux orphelin.  Puis viens le repas du soir, moment de rassemblement et de bonne humeur dans l’orphelinat, ce soir, riz et boulette de viande. Les plus jeunes  mangèrent comme des ogres, pour ma part je ne pris que le strict minimum, l’argent n’étant que peu présent, il fallait faire des économies sur tout, et même la nourriture. La nuit ce passa plutôt bien, et tendis que je regardais les étoiles je ne pouvais repenser aux pseudos héros que j’avais vue dans la fin de mâtiné, qui étaient-ils ? D’où venaient-ils ? Tant de questions qui ne pourront jamais être résolue.

Matin (même jours que les autres.... le deuxième)

Réveil 6h00, comme tous les jours  je m’entraine pour maitriser de plus en plus mon pouvoir. Puis je descends pour préparer le petit-déjeuner  vers 7h puis part en direction de l’université.

L'ouvrier ouvrit les yeux, se réveillant difficilement. Le soleil ne s'était pas encore levé mais on pouvait percevoir une pâle lueur à l'horizon, la lumière faible mais réelle, du jour qui ne tarderai pas à arriver. Mais dans une ville comme New York, et dans le quartier industriel qui plus est, on ne pouvait pas apercevoir l'horizon. Alors Nikolas se leva, comme à son habitude, s'habilla des même vêtements usés, se fit cuire un œuf qui lui servit de petit déjeuné, sortit dans la rue et se dirigea vers l'usine d’emballage qui lui servait de lieu de travaille. Les rues encore sombre du quartier étaient plongées dans un brouillard épais et noire, presque semblable à celui de Londre il y a longtemps et l'odeur nauséabonde qui s'en dégageait n'était que renforcé par celle de la sueur de centaine, des milliers d'autre travailleurs et ouvriers, ayant tous le même but : les usines. De temps à autre on entendais un cris, quelqu'un trébucher, des murmures. On apercevait un mur qui jaillissait du brouillard et que l'on manquait de peu de cogner, un homme allongé sur le sol. Rien qui n'interpellait cette masse grouillante, résignée et silencieuse, elle, alors qu'elle marchait le long des usines qui crachaient déjà de long nuages noires depuis leur cheminées. Toute à l'unisson, les hommes marchant comme d'un même pas vers leurs portes béantes qui semblaient les avaler.
Sauf celle devant laquelle Nikolas se trouvait. Ses portes étaient fermés. Ses cheminer ne déversaient rien. Les machines étaient silencieuses. Contrairement à un hommes massés devant. Ce dernier s'adressait aux autre, se tenant devant les portes closes. Il parlait avec les mains, debout sur une caisse, surplombant ses semblables. Et alors que les hommes commençaient à s'agiter, troubler par les paroles de leur confrère, un soleil orange se dessinait derrière la fabrique, son toit semblable à une ligne d'horizon tordu, mais implacable. Un homme lève le point en criant un mot. Les uns après les autres, les hommes l'imitent. Ils crient en cœur alors que Nokilas traverse discrètement leur rang, peinant à garder son calme, jusqu'à atteindre l'homme sur la caisse.

« Daniel ! Qu'est-ce que tout cela veut dire?! »

Steven marchait tranquillement dans la rue, les gens le regardait de façon très étrange, c'était tout à fait normal avec l'énorme épée qu'il trimballait dans son dos, il ne passait clairement pas inaperçu.

"What are we going to do today.
-Something bad? lâcha Nebotus avec ironie.
-I'm not evil, I don't do bad thing Stupid guy."

Alors qu'il marchait des policiers armés vinrent l'intercepter et pointèrent leurs armes vers Steven.

"Vous êtes en état d'arrestation.
-Hey look Nebotus, it's the paparazziiiiii!
-Steven, I don't think they are...
-I have to protect my image!"

Steven attrapa nebotus et frappa le sol créant un nuage de poussière noir. Le policiers tirèrent alors dans la fumée. Steven, lui, courait le plus vite possible, mais se prit une balle dans l'épaule malgré.

"Holy shit, it's not a good sensation you know.
-Dumbass, you have a bullet in your shoulder, it's technically normal that it hurts!"

Pour échapper à la police il emprunta un nombre incalculable de rue quitte à se perdre. Il souffrait de plus en plus, alors qu'il sortait d'une ruelle, il heurta quelqu'un un jeune avec une capuche qui lui couvrait le visage et qui marchait le visage baissé. Il tomba les fesses au sol. Steven le remarqua en tenta alors de parler.

"Désolé, je t'avais pas vu..."

Il ne put finir sa phrase, il avait perdu un peu trop de sang. Il s'écroula juste au pieds de l'inconnu (alias Cody pour la Dame).

Pain s’était réveillé approximativement 3 heures après Tina, il put manger à son aise, un petit déjeuné correcte, la mère de Tina étant parti au travail. Après il décida de faire un tour.
Il se retrouva à Manhattan, sauta d’immeuble en immeuble, s’aidant de son tentacule et de ses mains et pied griffu. Il finit par se poser sur le bord du toit d’un immeuble, en position du félidé. Quand tout à coup, il entendit un miaulement à côté de lui, il tourna la tête et vit un chat.
-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!!!!
Il en sursauta tellement qu’il perdit l’équilibre. Il chuta de l’immeuble, qui fort heureusement n’était pas très haut, et atterrie dans une grande poubelle extérieure dans un coin d’une ruelle.

-Jeff, c’est l’heure de l’examen médical…
Un infirmier ouvrit la porte de la cellule du malade mental, accompagné de deux gros bras qui  le saisirent fermement avant de l’emmener dans les couloirs.
*-Bon, on va pas s’en sortir avec tes p’tit bras et ton intelligence digne d’un escargot, laisse-moi faire.*
Les yeux de Jeff devinrent noirs avec une pupille rouge, et des sortes de marque se dessinaient sur son visage.
Le corps de Jeff possédé par le démon fit un salto arrière, envoyant ses pieds dans la figure des deux colosses. Ceux-ci, surpris par le coup, le lâchèrent.
-Monsieur Sweet ! Calmez-vous !
-La ferme le vioque !
Willy envoya un énorme coup de poing dans la figure de l’infirmier, avant de s’enfuir dans les couloirs.
-Attrapez-le ! Hurla l’infirmier au deux gros-bras.
Une alarme retentit tandis que Jeff/Willy courrait dans les couloirs, envoyant valser les personnes devant lui.
*-Ouhouhouhou, j’adore ce bruit, tellement dynamique.
-Ouais, bah profite, parce qu’on va pas chômer ici, je trouve l’endroit où ils ont enfermé les couteaux et on se casse.
-Oh-oh-oh ! J’peux ? Je sais où ils sont !
-Très bien, mais t’as pas intérêt à trainer.*
Jeff reprit le contrôle de son corps et se dirigea vers la salle des objets confisqués.
Il entra en défonçant la porte à coup de pied, derrière celle-ci, une jeune femme, celle qui s’occupe des objets, tomba de sa chaise quand il arriva. Jeff s’avança vers elle avant de la soulever par le col, toujours le sourire sur le visage.
-Où sont mes couteaux Madame ?
La femme, apeurée, pointa une caisse. Jeff la lâcha et l’ouvrit. Dedans se trouvaient deux couteaux de combat qu’on lui avait pris le jour où il a été interné. Quand il s’en empara, une sorte de force les traversa.
*-Ah, ça fait du bien de retrouver son corps. Enfin, j’veux dire, sa seule apparence physique dans ce monde de merde.*
Jeff se tourna vers la femme au sol.
-Merci.
Il disparut alors en riant comme un dément dans les couloirs de l’asile. Son rire couvrit presque le bruit de l’alarme.

« Je n'arrive pas à croire que tu ais fait ça.
- Et pourtant, dans quelques semaines notre vois sera enfin entendu !
- Ou, on se fait tous virer et on retourne dans les mines ou les champs au sud du pays. »

Devant les hommes protestant devant l'usine se trouvaient les deux camarades. Bien que défavorable à l'idée de son confrère, Nikolas était quelque peu séduit par celle de se faire entendre et de se faire valoir, lui et les autres ouvriers, auprès des patrons. C'était sans doute ce pourquoi il était encore là, au coté de Daniel et d'autres de ses amis, au lieu d'être partit en le traitant de fou et d'imbécile. Enfin quelque chose changeait. Il n'y avait que les ouvriers d'une seule usines, mais, hey, ça doit bien commencer quelque part. En jetant un coup d’œil au ciel on pouvait vaguement apercevoir le soleil, maintenant haut dans les airs, au travers de la fumée et de la poussière. Quelques mètres au devant des portes du bâtiment et de la foule, on pouvoir clairement voir certains des contremaîtres de l'usine. Certains se disputaient, certainement au sujet de ce qu'ils devaient faire, d'autre étaient assis sur des caisses ou n'importe de quoi d'autre du moment que cet autre était sec. Certainement qu'ils étaient dépassé par la situation et ne devaient pas savoir quoi faire. Avec un peu de chance, se dit Nikolas, lui et ses camarades verraient le visage de leur employeur, ou de leur employeurs, il n'en savait trop rien, avant de tous se faire virer.

Stryker put entendre son téléphone sonné alors qu'il était en pleine expérience. Le numéro affichait masqué, la première question qui lui passa par l'esprit fut de se demander qui pouvait bien avoir obtenu son numéro étant donné que cela ne pouvait être Fatalis, il sortit de la salle d'expérience et décrocha tout en indiquant à un de ses hommes de tracés le signal de l'appel.

"Monsieur Stryker? J'ai entendu parler de vos travaux et j'aimerais savoir si vous aviez du temps à m'accorder.
-Du temps à vous accordez vous dîtes? Tout cela dépendra de pourquoi et comment vous avez réussi à me joindre, car ce numéro est censé resté secret, tout du moins, il devait l'être. Donc je vous écoutes, dîtes moi d'abord comment vous avez réussi à me joindre et ensuite nous pourrons sûrement discuter."

Il regardait sur l'écran et malgré ses détecteurs n'arrivaient pas à détecter d'où provenait l'appel, cela l'intriguait fortement ce que le fit se concentrer un peu plus sur les dires de son interlocuteur.

Le patron regardait la manifestation depuis la petite caméra bon marché, il se mordait les lèvres. Il attrapa alors son téléphone et passa un coup de fil.

"Allo? Bonjour, j'aimerais parler au sergent. Il y a quelque soucis à régler."

Tandis que la manifestation continuait, des sirènes se faisaient entendre. Les voitures de police se stoppèrent et les policier armé sortirent accompagné d'un homme équipe de pièces d'armure mécaniques parsemés. Il s'adressa alors à la foule de manifestant.

"Bien, on va mettre les choses au clair bandes de demeurer ingrat. Selon l'article 47 - 4 du code civil Fatalisien, les grèves sont strictements interdites car elles ne sont pas assez productives. Enfin, j'vais être gentil et vous laissez une chance d'arrêter de suite sinon..."

Il fit signe à un homme et celui tira directement sur le manifestant se trouvant le plus en hauteur, c'est à dire Daniel qui avait eu le malheur d'être debout sur une caisse. La balle lui traversa le ventre et il tomba en arrière s'éclatant le dos contre les portes, il n'était pas mort, mais en très mauvaise état.

"Sinon, vous finirez comme lui, voir pire. Qu'en dîtes-vous?"

Cody marchait tranquillement dans la rue, allant avec une très grande démotivation faire ses courses, et l'être l'habitant tentant de le motiver.
Soudain, alors qu'il était perdu dans ces pensées, et par là je veux dire en train de se faire engueuler mentalement, il heurta une homme, qui tomba à ses pieds, en soufflant une phrase avant de s'écrouler.
Cody poussa une petit cri de surprise et se massa l'épaule, avant de regarder avec inquiétude l'homme à ces pieds.
(- Casse-toi, il t'a peut-être pas encore capté, prend-lui son porte-feuille au passage.)
(- ... Non... Il n'a pas l'air bien...)
Cody se pencha vers l'homme, en gardant sa capuche descendu.
- ... Excusez-nous... Tous va bien ?... on peut vous aider ?
(- Tu vas voir, il se fout de ta gueule et c'est toi qui va te faire voler ton porte-feuille.)
(- ... Non, attend, il perd du sang.)
- ... On peut faire quelque chose ?!

Nathan se pressait d'aller en cours, mais un cri retint son attention.
Le garçon se tourna, pour voir un type, à l'intérieur d'une poubelle, à la ramasse.
Levant un sourcil, et arborant un visage critiquant, l'adolescent se rapprocha.
- Hey, je sais que les temps sont durs, mais pour trouver un lit ou de la bouffe, vous devriez essayer le resto en face, des fois y filent des restes aux sans-abris...

- Hey, je sais que les temps sont durs, mais pour trouver un lit ou de la bouffe, vous devriez essayer le resto en face, des fois y filent de la bouffe aux sans-abris...
Pain se releva douloureusement, laissant d’abord apparaitre sa main griffue or de la poubelle. Puis arriva sa tête, une peau de banane dans les cheveux et une bouteille en plastique dans la bouche qu’il recracha d’aussi tôt.
-Pouah, ça valait la peine de se laver hier…
Le jeune démon se mit alors debout sur le bord de la grande poubelle, tenant l’équilibre grâce aux griffes de ses orteils.
-Et pour ta gouverne, mon vieux, j’dore pas dans ce truc. J’suis juste tombé du toit en me retrouvant face à une des créatures du diable en personne.
C’est alors que le chat de tout à leur sauta de son perchoir, passa de balcon en balcon pour atterrir juste à côté de Pain.
Il lâcha un miaulement et se lécha la patte, le jeune démon se retourna en hurlant.
-Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !!!!!!!!!!!!!!!!
Un énorme tentacule sortie de son dos, et vint brutalement frappé l’animal qui atterrie plus loin dans la ruelle, tandis que Pain fit un bon en arrière, et vint se cacher derrière le jeune garçon qui l’avait traité de clochard.
-Arrière !!! Fruit du malheur !!! Ne m’approche pas !!!

"Voyons monsieur Striker, un bon magicien ne révèle pas tout ces tours avant la fin de la présentation, quand à la raison de mon appel... Eh bien j'ai lu vos travaux sur l'adamantium mais aussi vos recherches sur les mutants et la menace qu'ils représentaient, c'est pourquoi j'aimerais vous présenter une nouvelle arme capable pour les affronter et surtout... les recyler, monsieur Striker."

Oblivion observa sa dernière création un instant puis repris la conversation.

"Alors êtes-vous intéressé par mes propos, puis-je vous prouver que vous n'avez qu'a y gagner dans cette affaire?"

Kaalia se réveilla tranquillement avant de se laver et s'habiller. Décidément l'appartement du vieil homme était vraiment confortable. Elle ouvrit le frigo pour se rendre compte qu'il était vide. Bon elle allait devoir faire des courses, heureusement que les gardiens la finançaient pour éviter qu'elle doive travailler selon les standards terrestres pour manger.

Elle mis une broche à ses cheveux qui fit apparaitre un hologramme qui l'enveloppa, lui donnant l'air d'être une humaine parfaitement normale, bien qu'elle trouvait les humaines bizzares de porter des habits aussi étrange comme ce vétement appelé "sweat à capuches" et ce "jean" sur les jambes, elle trouvait que ça ralentissait les mouvements, mais le pire, c'était les chaussures. Elle pouvait lire écrit sur le côté "converse"... Une signification quelconque? elle s'en fichait, elle sortit en fermant la porte à clé, comme lui avait conseillé le vieil homme et partit en course.

le type sortit de la poubelle, en répondant à Nate, lui faisant savoir qu'il n'était apparemment pas un sans-abri, Nate continua de douter de cette réponse.
- Et pour ta gouverne, mon vieux, j’dore pas dans ce truc. J’suis juste tombé du toit en me retrouvant face à une des créatures du diable en personne.
Nathan leva un sourcil.
Un chat vint montrer le bout de son nez, et le clochard eu une réaction pour le moins inattendu, à la grande surprise du garçon.
- AAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! Arrière ! Fruit du malheur ! Ne m’approche pas !
- HO !
Le type vint se cacher derrière Nate, après avoir envoyé balader le félin, et l'étudiant, après avoir digéré l'intrusion dans son espace personnel, plaqua sa main contre sa figure.
Mais il avait bien remarqué ce qui avait frappé le chat, et ces griffes qui sortirent de la poubelle... ça lui était étrangement familier, mais il ne voyait pas pourquoi.
L'adolescent maudit son existence, pas UN SEUL jour sans qu'un truc pas normal se passe ces temps-ci.
Enlevant sa main, il repoussa brusquement le type.
- Ecoute mon pote, c'juste un chat ! Regarde, BOUUUH, voilà, l'est partit...
Le félin disparu, Nate se retourna pour observer le type plus intensément, en hochant légèrement la tête.
- ... C'est quoi le truc, au fait, dans ton dos... ?
Même s'il demander, le garçon se dit qu'il allais regretter cette question.

Une fois son fils partit, "l'adulte" sortit de son appart' et descendit marcher tranquillement dans la rue, sapé d'un très large t-shirt arborant en capital "I'm surrounded by drama-queens", un pantalon noir assez moulant et des tongs, grossissant la taille de ses lunettes pour recouvrir totalement ses yeux.
Deux clopes en bouche, Carbon marchait tranquillement dans la rue, regardant sur une application le changement en direct des marchés de diamants africains, jouant le troll de forum en baissant ses prix et ruinant les actions opposantes aux moments opportuns.
Il se retrouva alors à une terrasse, les pieds sur la table et mangeant une quantité importante de nourriture acheté à McDonald, rigolant tout seul alors que de l'autre côté de l'océan atlantique, on jurait de le tuer.

Le jeune homme fit fuir le chat, Pain se sentit quand rassuré, quand celui-ci le regarda d’un air étrange.
- ... C'est quoi le truc, au fait, dans ton dos... ?
Pain se retourna pour constater l’énorme tentacule qui se trouvait accrocher à son dos.
-Oups…
Il le fit alors rerentré entre ses omoplates.
-Ça ? Euh…. Je doute que tu ne me croies si je te le dit…
Le jeune démon semblait hésiter.
-En fait… je ne suis pas vraiment ce qu’on peut appeler un humain… J’suis plutôt ce que vous appelez un démon…
Tout en disant cela, des marques runiques apparurent sur sa peau tendit qu'il lâcha un faux sourire de ses dents pointues.

Les yeux de Nate, jusqu'alors neutres, s’agrandirent à la vue du tentacules disparaitre dans le dos du type.
Avec un regard horrifié, il recula de plusieurs pas, ajustant son sac sur son dos, et se préparant à courir.
-Oups… Ça ? Euh…. Je doute que tu ne me croies si je te le dit… En fait… je ne suis pas vraiment ce qu’on peut appeler un humain… J’suis plutôt ce que vous appelez un démon…
- WHAT.
Ce fut le seul mot qui peut sortir de la bouche du garçon, le second qui se disputait la place était "AGAIN ?" mais la surprise était plus forte que le sarcasme.
Des marques apparurent alors sur le type.
Nate les regarda un instant, avant de relever les yeux vers le visage du type.
- ... Oh-mais-je-dois-aller-en-cours-bye !
Un sourire aussi gênant que le type, un rapide salut de la main, et Nate se retourna pour prendre sa route, suant à grosse gouttes une fois de dos, il avait pas vraiment aimé le contact avec le premier démon qu'il avait vu.
Nate composa tous de même le numéro d'urgences, en priant que le type ne le suive pas. Il n'avait vraiment pas envie de se frotter à un être mystique, quittes à le planter au beau milieu d'une conversation.
Il priait tous de même TRES TRES fort de ne pas être suivi, au fil des numéros tapés.

Je marchais en direction de l’université, aujourd’hui devait avoir lieu le cours de particule, un cours pas vraiment passionnant, mais à vrais dire cette année n’est pas très passionnante, si seulement j’étais plus âgée, je pourrais suivre les cours des dernières années, mais le directeur ne voyais pas d’un bon œil que j’y participe.
Je marchais plongé dans mes pensées, je connaissais le chemin menant à l’université par cœur, je pouvais même le faire les yeux fermé. Je sentais les ondes gravitationnelles de la terre onduler autour de moi, ce déplacer et affecter tout les objets et personnes, un moment de pur bonheur.

-Au voleur !!!
Jeff, habillé d’un long manteau à capuche lui cachant le visage, courrait à vive allure dans la rue de la ville. Il tenait plusieurs pâtisseries entre les bras qu’il avalait tout en courant.
*-C’est pas possible !!! C’était plus fort que toi hein !!!! Faillait bien évidement que tu te fasses remarqué dans cette pâtisserie…
-Hey, j’avais faim. C’est que ça creuse de s’échapper d’un asile.*
Alors qu’il fuyait, il rentra d’un coup dans quelqu’un. Tout son goûter tomba au sol, mais un téléphone portable atterri dans sa main.
Il leva la tête vers la personne qu’il avait bousculée, c’était un jeune garçon aux cheveux noir habillé d’habit jaune foncé.
-Hey ! On peut savoir pourquoi tu cours comme ça ? Ça va pas d’bousculer les gens comme ça ?
Jeff prit un air sévère, essayant de rejeter la faute de la bousculade sur ce jeune.

Alors qu'il composait le numéro à toute vitesse, Nate ne fit pas attention devant lui et rentra dans quelqu'un, son portable lui échappant.
- Hey ! On peut savoir pourquoi tu cours comme ça ? Ça va pas d’bousculer les gens comme ça ?
- Wha- Oh, désolée... je.. je vais en cours...
"Et j’essaie de fuir un envoyé des enfers" pensait le garçon.
- Je peux avoir mon portable ?
Nate fit un petit sourire crispé, en regardant en arrière si il était suivi.

- Wha- Oh, désolée... je.. je vais en cours... Je peux avoir mon portable ?
Jeff regarda le portable avant de sourire.
-Tu veux ton portable ? Héhéhéhé, alors va chercher…
Jeff lança le portable le plus loin qu'il put en éclatant de rire.

Le jeune homme avait disparut d'un coup, surement effrayé par la soudaine révélation de sa vraie nature.
Pain haussa les épaules, ce n'était pas la première fois qu'il faisait peur à quelqu'un. Il sortit de la ruelle en remettant sa capuche, et était sur le point de prendre la direction opposée à celle qu'avait prit le jeune garçon, quand soudain il se prit un objet en plein sur le crâne. Le choc fut si fort qu'il en perdit l'équilibre et tomba au sol.
-C'est vraiment pas ma journée... Dit il le visage enfoncé dans le béton du trottoir.