Sixième Psaume : Mr. Merry-go-Rounds

L’homme-sanglier s’envola, ce qui fit que Finola tapa dans le vide, s’en suivirent alors le magicien recloné qui se mirent atour de celui et crachèrent du feu sur lui.
« Hahahahaha, c'est que t'a l'air d’être un marrant toi.... »
Christoph écartât les bras.
« Je vais commencer par te baiser, puis je t'écorcherait la peau. Et je me ferait un masque de ton visage. »
Venant de comprendre, Finola tendit un sa main rapidement vers le gros barman.
-Christoph ! Non !
La jeune femme dû réfléchir rapidement et par simple reflexe envoya dans sa tête des visions des conséquences de son acte. Faire une énorme orgie dans un pays musulman viendrait à faire que de nombreuse femme tomberaient enceinte de pure inconnu, il n’y a pas pire déshonneur que ça, elles subiront la honte, la maltraitance, le jugement social, ou bien même pire…..la peine de mort.
(Cascade surnaturelle de 5 Légendes)

Lorsque Finola tendit la main vers Christoph, rien ne se passa pour elle. Ouf.
La femme-plante tendit lentement les bras vers ses vêtements... Pour finalement les écarter à son tour.
Absorbant toute l'énergie magique de la Bacchanale, celle-ci dégagea une légère odeur de musc. Ne se sentant plus contrôlée, Finola continua à avancer le bras en direction de Christoph, jusqu'à l'embrasser. Finalement, elle avait eu lieu, cette Bacchanale. Même si ni les trois Scions natifs, ni Alexandro ne semblaient pas affectés. Celui-ci finit d'ailleurs par dire : J'en ai marre qu'à chaque fois on perde contrôle, donc vous m'excuserez très chère, mais cette fois-ci je ne laisserais personne détruire l'ordre que j'essaie d'établir depuis que je suis arrivé ici."
C'est alors que, sur les ordres d'Alexandro qui frappa sa canne contre le sol, de nombreux êtres entre la vie et la mort défoncèrent la porte de la brasserie, plaquant à terre les Magiciens, Christoph et Finola, qui ne furent cependant pas dérangés par ceux-ci, d'autant plus que la Poison-Ivy-wannabe semblait vouloir prendre part elle aussi à l'étreinte du Grec.
Abandonnant alors leur tâche futile vu la force des Scions, les zombies se concentrèrent alors sur une tâche plus simple : récupérer de l'ADN des Scions natifs : le Vieux prononça quelques mots, et, malgré toute leur bonne volonté, les zombies n'arrivèrent pas à récupérer quoi que ce soit ; Apex en détruisit une douzaine avec son arme, mais fut vulnérable lorsqu'il dût la recharger ; enfin, Ivy ne semblait pas montrer de quelconque résistance à cela.

Alors piqués par une impulsion surnaturelle, les deux belligérants se dirigèrent vers Alexandro pour, semble-t-il, l'embrasser. La femme-plante passa la première : lorsqu'il goûta à ses lèvres, Alexandro comprit cependant, au goût assez étrange et enivrant de celle-ci, qu'il s'était fait avoir. Et il tomba au sol sans plus de contrôle sur lui-même tandis qu'une mélodie l'incitant à la décadence l'envahissait.

Petite explication :

[Vingt heures plus tard]
En se réveillant, Christoph, Finola, les Fous, et Alexandro se rendirent compte de nombreux changements. Tout d'abord, la brasserie était à nouveau propre, intégralement réparée, où même la disposition du mobilier semblait propre aux principes du Feng Shui. Ensuite, bien que sans vêtements, chacun - même ceux qui n'étaient pas à proprement parler des Scions, comme les Suivants de Finola ou les lapins du Magicien - était fermement entravé par des chaînes au bar, quoique celles d'Alexandro semblaient être clairement plus fragiles que celles des autres. Enfin, si les mortels présents à la "fête", Ishtar - qui, dans les souvenirs du groupe, a fait une apparition environs trois heures après le départ - , Apex, la femme-plante et le Vieux avaient disparus, d'autres personnes étaient à présent là : une douzaine de soldats en armes et en armure, ayant gravé sur leur poitrail le symbole d'une balance, les tenaient en joue, tandis que ce qui semblait être leur chef, aux yeux bandés et tout aussi harnaché, se dirigea au contact des comateux, et leur dit d'une voix colérique : "C'est bon maintenant ? Vous êtes réveillés ? Vous vous prenez un café ? Non, attendez, cadeau de la maison." Il prit sur le bar une cafetière qui chauffait à cette occasion, et jeta son contenu brûlant sur le groupe. "Bon. Maintenant que c'est fait, on va pouvoir discuter. Qui a fait ça ?"

Alexandro sentit le café brûlant sur sa peau, mais se retint de hurler de douleur pour ne pas donner de plaisir à son tortionnaire. Il remarqua dans sa douleur qu'il pouvait à tout moment se libérer au vu de ses liens fragiles, pour une raison qu'il ignorait encore. il finit par se calmer et regarda droit dans les yeux l'homme qui venait de parler.

"Bien, tu viens de gâcher du bon café ainsi que l'occasion de montrer qu'un Orion pouvait être une personne civilisée poli? Satisfait? Non en fait je m'en fiche, car le fait que nous soyons enchainé et votre armement suggère premièrement que vous avez peur de nous et deuxièmement que vous n'avez aucune idée de ce que nous faisons là. Mais comme je suis un homme courtois, je vais vous répondre. Nous avons été envoyés par l'administration céleste pour remettre sur le droit chemin 2 scions qui commençaient à faire n'importe quoi dans ce pays et avions pour ordre de les ramener à l'administration, sauf que les choses ont dégénérées et que je me suis moi-même fait avoir par la scion renégate qui a retourné mon pouvoir contre moi. Pour les reste, je ne me souviens de rien. Donc il vous reste maintenant deux choix, messieurs, nous libérer pour que nous puissions poursuivre notre mission et donc vous éviter le déplacement et une longue traque, ou nous laisser là pour aller chercher les vrais responsables de ce merdier. Après tout, nous aspirons tous à un retour à l'équilibre et je vous avoue que je commence en avoir marre de la violence."

Alexandro concentra son pouvoir dans la main dans son dos, prêt à déchainer le chaos dans la pièce si l'impudent continuait à le menacer.

Finola écouta la conversation entre Alexendro et le drôle de chevalier en armure.
« Maintenant, vous répondez ou pas ? Qui a commis un crime pareil parmi vous ? »
Finola ne répondit pas à proprement parlé, elle se contenté de se libérer un bras de de pointer Christoph du doigt avec une expression complètement neutre sur le visage.

Christoph remarquât que Finola le pointait du doigt, sont visage laissât apparaître un regard triste.
Il finit par prendre la parole.

« Ouais, c'est moi qui est fait ça, je suppose que ses messieurs de la justice, souhaite m'abattre, mais non ça me dit rien de mourir comme un vulgaire chien, j'ai donc différente demande, la premier que l'on me remette ma relique, la deuxième qu'on règle mon cas par un duel judiciaire.
Soit un duel à mort. »

Le sourire triste de Christoph avait été remplacé par un regard sombre, il allait sûrement mourir aujourd'hui, mais pas seul...

Les fous finirent par se réveiller, ca faisais un moment qu'il ne s'étaient pas amuser comme ca, et il mirent environ 2 minutes avant de se rendre compte de qui était devant eux. Presque aussi rapidement, les fou glissèrent vers les hommes armée et tous parlais très fort ou gesticulais afin de mieu se faire remarqué.

"C'est pas moi monsieur l'agent, s'il vous plaît, ne me ramenais pas dans l'hôpital avec les murs en oreiller très confortable.
-J'ai une famille et des enfants qui m'attende à la maison
-S'il vous plaît monsieur l'agent, j'ai un voisin qui cache d'énorme quantité de drogue sous son plancher.
-Moi le miens a le remède contre le cancer.
-S'il vous plaît monsieur l'agent, j'ai faim.
-J'ai oublier de remettre mes vêtements.
-Je pourrais avoir encore du café s'il vous plais ?
-Dites monsieur l'agent, pourquoi le ciel est bleu ?
-Fait gaffe, y'a des mouton dans le ciel !
-On est perdu !

Le chevalier soupira un bon coup. "Wow. Décidément, faut que j'arrête de vouloir arrêter n'importe qui... Enfin. Une oralie, vous dites ? Très bien, nous ferons ça chez moi." Aussitôt, il toucha Christoph ; et aussitôt, tout les soldats, ainsi que Christoph et leur général, disparurent.
Néanmoins, ils semblaient quand même avoir oublié de détacher les autres, ce qui est un léger problème.

« Ouais, c'est moi qui ai fait ça, je suppose que ses messieurs de la justice, souhaite m'abattre, mais non ça me dit rien de mourir comme un vulgaire chien, j'ai donc différente demande, la premier que l'on me remette ma relique, la deuxième qu'on règle mon cas par un duel judiciaire.
Soit un duel à mort. »
-Attend….quoi ?
Le chevalier soupira un bon coup. "Wow. Décidément, faut que j'arrête de vouloir arrêter n'importe qui... Enfin. Une oralie, vous dites ? Très bien, nous ferons ça chez moi." Aussitôt, il toucha Christoph ; et aussitôt, tous les soldats, ainsi que Christoph et leur général, disparurent.
Néanmoins, ils semblaient quand même avoir oublié de détacher les autres, ce qui est un léger problème.
Finola soupira à son tour.
-Super…..Bon, c’est pas que j’sois une adepte du bondage mais ces chaines sont en train de m’écraser les nichons et c’est tout sauf confortable. Alors si quelqu’un a de quoi nous sortir de s’truc….

Personne ne dit rien, ni ne fit quoi que ce soit.
Plusieurs heures passèrent donc, laissant au bout d'un moment les prisonniers seuls, alors que la nuit tombait.

Le fou fini par avoir une idée. Il transforma ses chaîne et celle des autres en or et les explosa, laissant deux anneaux doré sur ces poignet. Il ne sentais plus l'effet du poison dans sa jambe. Il libéra ses lapin et les autres avant de repartir s'habiller dans son chapeau, accompagner de tout les autres fou.

Personne ne dit rien, ni ne fit quoi que ce soit.
Plusieurs heures passèrent donc, laissant au bout d'un moment les prisonniers seuls, alors que la nuit tombait.
-Et donc là le barman me dit « Désolé Madame, mais nous fermons dans 2 minutes ». Sans déconner, un pub qui ferme à 23h, on aura tout vu, chez moi les pubs ils sont ouvert H24 et….
Tout à coup le schizophrène sembla avoir une idée. Il transforma ses chaînes et celle des autres en or et les explosa. À nouveau libre Finola en profita pour s’étirer un peu.
-Aaaaah, pas trop tôt…
Elle remarqua sa gourde qu’elle avait pris avec elle, qui contenait du brandy bien frais. Elle s’en empara et en bu une gorgée.
-Après une histoire comme ça fallait que j’me désaltère. Bon, c’pas tout ça mais on a pas de temps à perdre, faut qu’on retrouve Pumba pour en finir une bonne fois pour toute avec cet enculé, et si possible notre contacte dans le lot.
Elle commença alors chercher ses vêtements éparpillés aux quatre coins du bar.
-Et si vous trouvez une culotte rose avec Hello Kitty dessus elle est à moi.

D'un bourgeon, s'extirpa en éclatant la plante une paire de dés. Celle-ci finit par atterrir en direction du groupe, formant un double 6. D'autres bourgeons subirent le même sort, jusqu'à ce que les dés forment un second message : Restez.

Finola regarda le spectacle qui s’offrait à elle.
-J’ai pas d’ordre à recevoir une plante !
Elle récupéra sa culotte et claqua des doigts, une petite flamme pas plus grande que celle d’un briquet apparu sur un des bourgeons, se propageant vite sur la plante jusqu’à réduire le mot « RESTEZ » en cendre. La jeune irlandaise enfila son vêtement qu’elle lâcha dans un « clap » une fois sa vulve couverte.
-Bon, récapitulons !
En même temps qu’elle s’habillait, elle commença à faire les comptes.
-On a un vieux sage contre la violence, une furry des cochons, une hippie végétale et un taré qui se baladent dans la nature, on a perdu Alexendro et Christoph est parti se faire trucidé on sait même pas s’il a survécu……Hun, pourquoi j’m’obstine à faire ces missions moi…?
-Pour l’argent ? Rétorqua Light.
-Juste…..Bon, j’reviens attendez-moi là.
Finola disparut derrière la porte des toilettes avant de revenir quelques minutes plus tard avec deux verres d’eau entre les mains.
-Tien, attrape Water.
Elle lança le verre ainsi qu’une petite pilule du lendemain vers sa servante avant d’en prendre une pour elle.
-S’agirait pas de tomber en cloque pour une bête histoire d’orgie.
Une fois cela fait, Finola attrapa le reste de ses affaires et se dirigea vers le chapeau du Fou, elle donna un p’tit coup dedans, comme pour réveiller le propriétaire à l’intérieur.
-Allez, on n’a pas qu’ça à foutre, j’ai pas envie de perdre plus de temps dans ce pays où l’alcool est prohibé.

Les fous ressortirent du chapeau suite aux coup de Finola.

" Ahhh, merci ma grande, je trouvais plus les explosifs.
-Bon allez, on se prépare a chercher tête de sanglier, on fait comme on dit.
-Ouais, On se sépare et si on le voie on fait tout exploser !
-C'est bien, même le barbare a compris."

Un des fous se sépare en 50 lapins identique. L'un des lapin normal a prit le chapeau du fou transformer et sort tandis que les autres lapins normaux reste avec leur fou propriétaire. Le lapin rester a l’intérieur sort une sorte de feu tricolore tenu par une canne a pêche a l'horizontale et il attrape un carton représentant un nuage fessant un sourire qui lui a été lancer de l’extérieur. Le lapin baissa sa petite patte qui ne tient pas la canne a pêche, allument les feux un par un avec l'autre patte. Une fois le feu entièrement allumer, les 50 lapins partent du bar et s’éloigne dans toute les direction le plus vite possible, prenant au passage les explosifs disposer par le lapin qui était dehors. Les autres fous attendent Finola a l'entrée du bar, l'un d'entre eux tenant la porte.

Les fous ressortirent du chapeau suite aux coup de Finola.

" Ahhh, merci ma grande, je trouvais plus les explosifs.
-Bon allez, on se prépare a chercher tête de sanglier, on fait comme on dit.
-Ouais, On se sépare et si on le voie on fait tout exploser !
-C'est bien, même le barbare a compris."
Un des fous se sépare en 50 lapins identique. L'un des lapin normal a prit le chapeau du fou transformer et sort tandis que les autres lapins normaux reste avec leur fou propriétaire. Le lapin rester a l’intérieur sort une sorte de feu tricolore tenu par une canne a pêche a l'horizontale et il attrape un carton représentant un nuage fessant un sourire qui lui a été lancer de l’extérieur. Le lapin baissa sa petite patte qui ne tient pas la canne a pêche, allument les feux un par un avec l'autre patte. Une fois le feu entièrement allumer, les 50 lapins partent du bar et s’éloigne dans toute les direction le plus vite possible, prenant au passage les explosifs disposer par le lapin qui était dehors. Les autres fous attendent Finola a l'entrée du bar, l'un d'entre eux tenant la porte.
La jeune irlandaise se contenta de lâcher un petit rire retenu avant de suivre la horde de lapin dehors.

Cela faisait déjà un moment que Dave tournait en rond dans cette petite ville d'Irak. Il sillonnait la région depuis une ou deux heures seulement, mais la sur-abondance de lapidations récentes avait réussi à l'aiguiller dans ce qui lui semblait être une bonne direction, et ce malgré son absence significative de sens de l'orientation performant ou encore de jambe gauche.

Pourtant, alors que son esprit de petit français s'imbibait de doutes, se demandant si cette soudaine violence n'était tout simplement pas l'issue d'un week-end un peu hardcore comme on en voit une fois sur quatre dans ces pays de sauvages, il ne tardait pas à se rassurer à la vue de ce qui lui semblait être une véritable explosion de lapins au sortir d'un bar.

Cela ne pouvait décidément être que l'oeuvre d'un Scion et c'était justement pour un Scion qu'il était sur place - du moins, c'était ce que lui avait dit la Bureaucratie en le précipitant hors de sa friterie. Aussi, il repéra rapidement une jeune blonde sur les traces de cette vague de rongeurs et partit à sa rencontre, ne-serait-ce que pour en avoir le coeur net.

- HEY ! HEY, MADEMOISELLE ! Criait-il ainsi.

- HEY ! HEY, MADEMOISELLE !
Finola vit alors un unijambiste clairement pas du coin lui faire signe.
-Désolée m’sieur, j’ai pas l’temps d’vous montrer le chemin vers une quelconque zone touristique ou d’écouter vos drague à deux balle. Water, Light, avec moi.
L’irlandaise laissa alors le touriste et continua son chemin.

- Désolée m’sieur, j’ai pas l’temps d’vous montrer le chemin vers une quelconque zone touristique ou d’écouter vos drague à deux balle. Water, Light, avec moi.

Une zone touri- Hein ? D'où pouvait bien sortir une telle femme, capable de voir un touriste dans cette région du monde ?

Dave fit mine d'être confus quelques secondes avant de remarquer un couple aux côtés de la jeune fille. Il s'agissait d'un flamboyant blondinet, qui ne lui inspirait rien d'autre qu'un malheureux supporter du PSG, accompagné d'une autre femme, celle-ci coiffée de cheveux bleus. Dave réprima avec regret une pick-up line qui lui était alors venu presque instantanément, tandis que le trio s'éloignait, à la poursuite des lapins - il ne pouvait pas se permettre de les laisser le distancer, avec sa jambe unique. Aussi, il sautilla aussi douloureusement que nerveusement jusqu'à leur niveau, veillant à ne pas laisser échapper sa béquille tunée.

- HEY ! MADEMOISELLE, J'SUIS UN SCION !

- HEY ! MADEMOISELLE, J'SUIS UN SCION !
-Super, mais à moins qu’vous ne soyez envoyé pour nous aider avec les conneries de Christoph j’ai pas de temps à perdre à taper la causette avec un compare.
La jeune irlandaise s’arrêta alors quand elle arriva à la place du village, où une bonne centaine de femme se faisaient lynchée.
-Light, Water, continuez les recherches, je vous rejoins dans un instant.
En avançant vers la foule, le corps de Finola changea pour prendre l’apparence d’un homme vêtu d’une tenue militaire et d’un casque bleu.
- Visage volé (Prendre l'apparence de quelqu'un d'autre) (2 Légende)
-Arrêtez immédiatement ce massacre !
Elle s’interposa entre les femmes et les hommes.
-Je suis de l’ONU et je viens vous prévenir que vous avez tous été victime d’une hallucination collective dû à une fuite de produit chimique d’une planque terroriste dans le coin. Quoi que vous aillez pu voir et qui ait formé cette haine envers ces femmes ça n’a pas eu lieu, ce n’était qu’un délire auditif et visuel. La planque a depuis été nettoyée et vous n’avez plus rien à craindre.
- Faux papiers (Possibilité de choisir une affirmation qui sera considérée comme vraie par les gens) (1 Légende) + Cascade surnaturelle (3 Légendes)

Le groupe de fous sortirent en dernier du manoir suivant le rythme. Les autres lapins passèrent rapidement devant chaque fenêtre prêt a attirer l'attention en cas de découverte d'un personnage important tel que le vieux ou encore tête de sanglier.

" Tu pense a se que je pense ?
-Ouais, le prix du café a beaucoup trop augmenter ses derniers temps.
-C'est pas faux, moi je pari sur le lapin 42 pour faire exploser en premier.
-Mouais, je suis pas sur que..."

Il fut interrompu par un unijambiste appelant Finola et décrétant être un scion. Les fous se mirent a son niveau.

" Bonjour, maintenant, tu brille !
-Bon plus sérieusement, nous travaillons pour le destin et afin de déterminer qui vous êtes et se que vous faites la, je vais vous demander de remplir se formulaire assez rapidement car nous sommes presser.

Formulaire en question:

Finola tentais de réparer les connerie de christoph ce qui n'interressa pas les fous, observant l'unijambiste, les lapins continuant leur travail en dehors de cette zone pour le moment.

Les personnes présentes écoutèrent... Puis se remirent à la tâche, ne comprenant manifestement pas l'anglais. Une personne cependant lâcha sa pierre - tenue de toutes façons très mollement, preuve qu'il n'avait pas vraiment l'intention de la lancer - pour se tourner lentement vers Finola, tout en récupérant un mouchoir en tissu pour se nettoyer les mains : un vieil homme à la canne que celle-ci connaissait. "Ghandi".
Celui-ci s'approcha vers la jeune femme, et lui expliqua de son anglais caractéristique : "Mademoiselle, aucune personne ici ne parle anglais. Sauf moi-même, ce chien d'Apex... Et ces regrettés ex-Scions que ce renégat a abattu. Même si le fait qu'il faille tordre les traditions me répugne, je vais faire un geste pour vous." S'appuyant sur sa canne, il fit apparaître une de ses tablettes, lisant lentement et à voix basse ce qui était écrit dessus.
Alors toutes les femmes qui étaient lapidées s'écroulèrent, comme mortes. Croyant ceci terminé, les lapidaires laissèrent tomber leurs pierres et repartirent à leurs occupations. "Je sais : non, elles ne sont pas mortes, et oui, je ferais passer votre message plus tard ; dans leur état de colère, ils ne m'auraient probablement pas écoutés de toutes façons."

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Du côté de Dave et du Nordique, il fut étrange de remarquer deux ombres s'échappant dans une ruelle à côté. Pas des personnes n'étant pas dans la lumière, non : on dirait littéralement des ombres vivantes.

- Super, mais à moins qu’vous ne soyez envoyé pour nous aider avec les conneries de Christoph j’ai pas de temps à perdre à taper la causette avec un compare. Répondit enfin la jeune femme.
- PARFAIT, PUTAIN, JUSTEM- Tenta le Scion alors que la blonde s'éloignait, disons-le franchement, comme la dernière de ces connasses lilloises coincées.
- Light, Water, continuez les recherches, je vous rejoins dans un instant. Crut entendre Dave, au loin.
- Meeeeeeeerde. Geigna t-il alors.

Dave était tenté d'aller à sa suite, à elle ou à celle de cette véritable marre de lapins qui continuait à se profiler devant lui, par ailleurs - mais finit par préférer l'alternative évidente ; À savoir s'asseoir quelque part le temps de reprendre quelques forces. Après tout, sérieux, il marchait déjà depuis un bien trop long moment à ce goût - PLUS DE 20 MINUTES ET C'EST VACHEMENT COURAGEUX DE MA PART, J'TROUVE, se disait-il. Aussi, il s'apprêtait à rejoindre un rebord, juste le temps d'essayer de trouver quoi faire - probablement attendre le retour de l'autre blonde, cela dit - quand il fut interrompu par un groupe… Pour le moins étrange - 15 personnes toutes identiques, toutes, semble t-il, aussi fêlées les unes que les autres :

- Bonjour, maintenant, tu brille !
- Euuuuuuuuuh…
- Bon plus sérieusement, nous travaillons pour le destin et afin de déterminer qui vous êtes et se que vous faites la, je vais vous demander de remplir se formulaire assez rapidement car nous sommes presser.

Dave resta perplexe un instant. Passé un premier choc d'appréhension, il cligna des yeux, soupira de dépit - préférant se poser les questions plus tard - et déplia le morceau de papier.

Formulaire en question:

Dave se massait péniblement la tête. Qu'est-ce que quoi comment ? Il n'avait pas signé pour ça, tout de même !
Dave, tout confus qu'il était, ne cherchait qu'une excuse pour se barrer d'ici en vitesse - Une excuse qui ne tardait pas à arriver alors qu'il remarquait deux ombres s'échappant dans une ruelle à côté. Pas des personnes tapies dans l'obscurité, non : on aurait littéralement dit des ombres vivantes.

- oh mon DIEU putain REGARDE ÇA !